Kornog entre cabotage..et cabotinage!
  • Catherine (Kornog)
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    Kornog entre cabotage..et cabotinage!

    par Catherine (Kornog) » dim. 20 nov. 2011 20:24

    Florent (Virus) en avait fait l’annonce il y a quelques années, Nautisme en Finistère (émanation du conseil genéral) organise sur différents secteurs d’intérêt des séquences de quelques jours de cabotage encadrés pour des équipages disposant de leur propre bateau.

    J’avais inscrit Kornog pour le circuit « baie de Morlaix » au départ de Roscoff du 14 au 19 août.
    C’était une grande première car je n’étais jamais allée avec Kornog au-delà de Trébeurden et surtout je n’avais jamais dormi dans un bateau ni même fait de camping.
    Si j’étais convainque des qualités marines et du confort du cockpit, j’étais plutôt réservée sur l’aptitude du first 18 au camping côtier.
    Kornog est un first 18 version avec « placards » et équipets constructeur sans rangement supplémentaire.
    La cabine présente habituellement un aspect assez encombré…..c’est un bateau d’échouage !

    L’organisation de cette première croisière fut assez chronophage et peu facile en raison de conditions météos défavorables pour envisager un tel périple jusqu’à j-3. A j-2 la météo était favorable pour le jour j mais beaucoup de pluie avant et je n’accédais au bateau qu’à BM.
    j-n : quelques achats comme 2 pare-battages supplémentaires, une ancre supplémentaire, les cartes marines, un gps portable avec cartographie, après hésitation un réchaud…….
    J-2 : sortie des bouts et pare-battages (6) pour les mettre dans une case latérale du coffre extérieur, côté central : 20 litres d’essence et de l’autre côté une ancre supplémentaire et la poubelle. Finalement c’est assez impressionnant tout ce qu’on peut mettre dans le coffre arrière.
    Nettoyage de l’intérieur.
    j-1 : chargement du bateau hors glacière mais pas assez de temps pour bien installer les affaires à l’intérieur. Les affaires ayant été regroupées à l’avance dans le séjour j’ai l’impression que je n’ai rien oublié, j’ai même eu tendance à en prendre trop.

    Jour J : lever à 5 heures du matin pour un départ prévu au lever du jour vers 7h. La mer était haute à 7 h 45. Le départ fut retardé à 8h30 en raison d’un bricolage à terminer concernant le remplacement du taquet de l’écoute de GV (les entraxes sont standard mais pas les vis que j’avais du aller acheter la veille au soir).

    Comme le vent devait forcir dans la journée et vu qu’il s’agissait d’une traversée, j’avais préféré installer le petit foc.
    En raison du peu de vent j’appuyai ma navigation au moteur.
    Il n’y avait pas de houle même au large de l’île grande.
    Au niveau de l’île Millau, je pris une direction un peu moins face au vent, l’occasion de couper les gaz. le vent d’ouest devint plus sensible peut-être à 6-8 nœuds, le temps était clair, bref des conditions idéales pour de nouvelles explorations.
    Enhardie par ces excellentes conditions météo je pris l’option de passer au large du plateau rocheux de la Méloine pour bénéficier d’un courant de marée max.

    L’arrivée se fit comme prévu à l’étale de marée basse. Le petit GPS portable me fut bien utile pour approcher cette zone complexe. Un voilier prend le dernier corps mort d’attente du port de Roscoff (situé au s-o de l’ilôt de Ti Saoson) juste devant moi.
    arrivée à Roscoff.JPG
    arrivée à Roscoff
    A ce moment une pervenche me salua et m’indiqua la route vers un autre mouillage d’attente.
    Mais qu’est-ce qu’elle nous raconte ?
    En fait Pervenche est le joli nom …d’un first 18, qui tout heureux de voir l’un de ses congénères, l’entraina dans un ballet qui se termina pour Kornog sur un corps mort du mouillage principal de l’île de Batz tandis que Pervenche disparaissait derrière les bateaux au mouillage.
    Après avoir attaché Kornog à l’arrache sur un taquet arrière, je décidai de faire un peu plus dans les normes en attachant le bateau par l’avant, mal m’en pris ou plutôt mal je m’y pris car je me retrouvai avec un bout entre le dessous de la coque et la quille. Le courant était déjà devenu trop important (coef 90) pour pouvoir jouer de la gaffe. Je me promis de ne jamais plus laisser le bout du bout fixé au corps mort.
    Je déjeunai, installai quelques bricoles, préparai les pare-battages tout en profitant des vues tant sur la côte que sur Batz.

    Nous étions accueillis au fond du port de Roscoff à partir de 16h30, à mi-marée quand le courant est le plus fort. Je décidai d’attendre 18h pour prendre contact, on m’assura qu’il n’y avait pas de courant au fond du port.
    Entre temps un plaisancier motorisé avait libéré le bout . J’arrivai pas trop inquiète au fond du port où effectivement je ne percevais aucune force incontrôlable. J’étais cependant contente d’avoir attendu car même comme cela la hauteur du mur d’enceinte était très impressionnante. Heureusement Pascal (responsable du stage) et Bernard (skipper du start 6) étaient là pour accrocher les bouts.
    D’avance j’étais impressionnée à l’idée de devoir emprunter une échelle verticale glissante……..je n’imaginais pas que pour cause de cailloux dans le fond du port le bateau ne pourrait avoir accès à une échelle. J’arrivai sur le quai grâce à Bernard qui me fit la courte échelle.
    A ce moment arrivait le huitième et dernier bateau un first 211.
    Pendant ce temps sous la tente de réception un homme fustigeait les « retardataires » en s’installant devant l’un des magnifiques plateaux de fruits de mer prévus à notre intention.
    Tout le monde pris place, rapide tour de table où chacun présenta son bateau et son expérience de caboteur.
    La formule devait être bonne car beaucoup n’en étaient pas à leur première semaine.

    8 bateaux seulement mais presque autant de solutions concernant le lest et le plan anti-dérive.
    La moitié des bateaux étaient finistériens et pour les autres la moitié étaient des bateaux de touristes basés dans les côtes d’Armor. 3 bateaux étaient venus par la route : 2 dériveurs intégraux ( kouign amann et multimono ) et un quille longue lesté d’eau le Pabouk.

    Pour ma première nuit à bord : feu d’artifice et musique. J’avais donc laissé la porte du cockpit ouverte pour profiter au maximum du spectacle et puis c’était tellement agréable cette sensation de dormir à la belle étoile que je n’ai eu aucune peine à appliquer les recommandations de Jean-Yves (Delos) à savoir laisser la porte ouverte pour avoir moins de problèmes d’humidité. Ainsi envolées les principales réticences que je pouvais avoir à l’idée de dormir dans le bateau à savoir d’être confrontée aux odeurs de vase et de graisse. Malgré cela il faut reconnaître que le lendemain l’humidité était perceptible. J’ai alors regretté de ne pas avoir comme certains d’entre vous des filets en hauteur pour étendre mon sac de couchage.
    J’ai utilisé le matelas d’origine dont le confort s’est révélé suffisant.

    Le lendemain, après un réveil par la marée qui agitait mon estomac dans tous les sens, je me réfugiai assise sur la glacière au pied de la descente en attendant que les autres bougent et que je puisse alors gagner le quai.
    Roscoff et ses petits caboteurs dans la lumière du petit matin.JPG
    Roscoff et ses caboteurs dans la lumière du petit matin
    Une fois sur le quai la nausée disparut quasi instantanément ce qui me permis de prendre un petit déjeuner en ville.
    Après un rapide briefing, départ précipité car déjà l’eau allait manquer.
    Direction Morlaix avec déjeuner-concert dans une crique de l’île Callot à l’occasion du 15 août.
    mouillage de l'île Callot.JPG
    mouillage de l'île Callot
    Dans le petit temps le first 18 n’était pas dans les plus rapides mais l’écart entre les bateaux n’était pas si important sauf pour le start 6 bien lesté et relativement peu toilé qui lui était vraiment à la peine.
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    nikinou
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    Re: Kornog entre cabotage..et cabotinage!

    par nikinou » dim. 20 nov. 2011 20:44

    sympa ton petit article ça donne envie de connaitre la suite
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    nikinou
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    Re: Kornog entre cabotage..et cabotinage!

    par nikinou » dim. 20 nov. 2011 20:45

    oulà, c'est moi qui ai du mal ..... je n'avais pas vu la fin.... :?
  • Catherine (Kornog)
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    Re: Kornog entre cabotage..et cabotinage!

    par Catherine (Kornog) » dim. 20 nov. 2011 21:20

    :oops: désolée Nikinou c'est moi qui ai modifié plusieurs fois la présentation en raison de difficultés techniques.

    La suite:

    L’après-midi, remontée de la « rivière » de Morlaix dans un paysage bucolique. Une originalité pour moi : des alignements à prendre sur des panneaux maritimes installés sur les berges. Du coup certains se croyant sur l’autoroute avec le first 18 dans le rôle de la 2cv, ne pouvaient s’empêcher de doubler pour arriver avant à l’écluse.
    Aborder une écluse pour la première fois avec un bateau de 30 ans donne plus de sérénité, quelques égratignures superficielles tout de même malgré les pare-battages supplémentaires assez volumineux que je recommande même s’il n’est pas toujours facile de les placer rapidement à la meilleure hauteur.

    Mouillage au ponton et apéro offert par Bernard et Françoise, les locaux !

    Un bémol, les toilettes fermées jusqu’au petit matin alors que nous n’avions pas le code et les bruits de circulation ..

    Là aussi nous sommes au cœur de la ville mais le lendemain matin, difficile de trouver quelque chose d’ouvert pour prendre le petit déjeuner avant le passage de l’écluse (8h30 ce jour là pour le dernier passage).

    L’eau commençait à faire défaut, il fallait suivre scrupuleusement les alignements, un moment de distraction et Kornog s’est immobilisé dans le fond de vase mais 5 tours de manivelle plus tard il repartait, une petite merveille cette QP.
    Après nous eûmes le plaisir de tirer quelques bords en baie de Morlaix : du vent, pas de mer peut-être en raison du caractère abrité du site, que du plaisir!

    Mouillage idyllique à l’île de Batz devant la plage en contrebas du jardin exotique. Déjeuner sur le bateau puis tour de l’île en vélo sur des vélos spécialement mis à notre disposition et livrés sur le lieu du mouillage..
    Roscoff vu de l'île de Batz.JPG
    Roscoff vu de l'île de Batz
    J’avais calculé au plus juste l’heure du retour mais confortée par la rencontre avec d’autres caboteurs, je rentrai un peu plus tard, A notre arrivée au mouillage certains bateaux, les quillards (même QP) plus loin du bord flottaient. Heureusement un plaisancier charitable qui passait par là me ramena à bord.

    Nos chefs avaient eu la bonne idée de vérifier la tenue des mouillages pendant notre escapade ; nous avons passé la nuit dans ce mouillage idyllique. Seulement le matin le vent avait forci et de ma couchette, je voyais le paysage changer. Je me levai pour constater que les autres bateaux valsaient également mais nous n’avions pas tous la même inertie et nous n’étions pas tous placés de la même façon par rapport au courant donc nous n’étions pas en mesure. Pas trop rassurée tout de même je met le GPS en marche pour constater que le bateau ne dérivait pas.

    Option fut prise de se rapprocher du mouillage suivant, le vent devant forcir dans l’apm. Cap sur l’île de Sieck.
    Avec force 4 Kornog était excellent au près ; un bateau cependant distançait tout le monde…….le start 6 dont le lest descendait jusqu’à 1,4m !
    Le first 18 me parait cependant plus équilibré dans ses performances.

    Le temps était ensoleillé, propice à faire le tour de l’île avec une pause café.
    Dans l’apm de plus en plus de surfeurs bondissant avec leurs planches. Le vent forcissait mais nous devions attendre qu’il y ait suffisamment d’eau pour entrer dans le port de Moguériec à quelques encablures de là. Nous étions dans une baie, la houle n’était pas très forte et nous pûmes gagner le port au moteur, seulement nous sommes arrivés vers la mi-marée , avec des courants difficiles à apprécier à l’avance, dur d’être assez réactive ; heureusement Vincent jouait au pare-battage géant avec son zodiac.

    Encore une échelle verticale…mais maintenant j’ai l’habitude.

    Moguériec est un important port langoustier amorçant une reconversion, aussi les touristes, encore peu nombreux sont les bienvenus : port gratuit et sanitaires du camping municipal à 2 pas.
    Nous avons visité un atelier de caseyeur avant qu’un élu nous conte l’histoire de la pêche à Moguériec autour d’un apéro , intervention suivie d’un atelier confection d’une ligne de traine pour la pêche au maquereau.
    100_1324.JPG
    après l'apéro
    Puis nous eûmes droit à notre deuxième plateau de fruits de mer tout aussi copieux et frais qu’à Roscoff avec en plus des étrilles, un vrai must.

    Pour cette quatrième nuit, le matelas et le sac de couchage étant devenus vraiment trop humides je me suis accordée le droit d’utiliser un ensemble matelas sac prévu pour le camping dans le cas où je n’aurais pas supporté de dormir dans le bateau, le tout posé sur le matelas humide . J’ai beaucoup apprécié ce dispositif, le sac étant maintenu en place par le matelas il est beaucoup plus facile de se retourner.

    le lendemain matin, petit-déjeuner obligatoire à bord car tout est fermé. Je m’étais bien acheté un « camping gaz » à plat mais faire du feu sur un plan de travail en plastique ou en bois…j’arrive pas.
    La glacière n’était plus alors qu’un simple garde manger mais l’emmenthal emballé en portions individuelles et les petits suisses en sachets me parurent encore comestibles. Pour les produits de type barres protéinées, je conseille de goûter avant la croisière.

    Nous devions gagner Saint Pol de Léon tout en pêchant à la traine mais rapidement après notre départ nous nous sommes trouvés dans la brume, isolés en 2 groupes avec le first 211 entre les 2, l’équipage en profita pour tester sa corne de brume et bien celle-ci ne fonctionne pas dans l’humidité, un comble!

    Nous devions avoir une vigilance de tous les instants pour rester en vue les uns des autres.
    J’étais rassurée par la présence du voilier amiral de la flotte, probablement équipé d’un radar…..d’autant que nous devions traverser la route des navettes pour Batz et celle des ferrys transmanche.
    Ouf nous sommes arrivés à Saint Pol de Léon à la mi-journée, il était temps encore un peu, il n’y avait plus assez d’eau.
    Prévenant, l’un des encadrants me dit que j’ai déroulé suffisamment de chaine, je me dépêche alors de remonter la quille et de mettre les béquilles sans plus penser à la chaîne.

    Nous étions mouillés près de l’école de voile à l’extrêmité de la jetée.
    Gilles responsable à terre, nous monta en ville en voiture. Visite du kreisker et de la cathédrale, lèche –vitrines, je n’étais plus tout à fait un marin. Retour à pied par un itinéraire choisi permettant d’avoir des vues agréables au cours de la redescente. L’heure avançait, pourquoi donc retourner au first ? je me dirigeai vers l’école de voile où après quelques préparatifs nous avons dîné avec les maquereaux pêchés le matin par quelques collègues courageux. Vers 23h le zodiac nous ramena à nos bateaux respectifs…..sauf qu’après une demi-heure à sillonner la zone de mouillage en tous sens avec le projecteur, aucune trace du Kornog.

    Je passai finalement la nuit dans le centre nautique qui avait été mis à notre disposition pour la nuit si nous le souhaitions. Il y avait un canapé bien accueillant et nos anges gardiens avaient mis une couverture à ma disposition. Difficile cependant de trouver le sommeil.
    Quel avait pu être le trajet du Kornog ? celui-ci donnait l’illusion d’avoir eu sa mobilité propre, semblant avoir fait un caprice parce que sa maîtresse l’avait délaissé ou avoir voulu continuer à caboter alors que nous devions repartir le lendemain, prélude à la fin des vacances.
    Forte de l’expérience d’un ami skipper qui avait retrouvé son bateau sain et sauf au fond de l’anse de Pellinec alors qu’il l'avait laissé à Port-Blanc, je ne perdais pas espoir.

    Au lever du jour je partis explorer la côte sur plusieurs km, je finis enfin par apercevoir un voilier isolé au niveau de l’entrée d’un bras de mer ; il était cependant trop loin pour que je puisse reconnaître un éventuel first 18. A ce moment j’aperçus un zodiac qui se dirigeait vers lui, je poursuivis mon chemin, j’arrivais alors vers le fond d’un bras de mer et ne voyais plus la scène ; lorsque je la vis de nouveau quelques minutes plus tard, le zodiac remorquait le voilier, Kornog était sauvé. Suivit un message de confirmation à la VHF. Je revins aussi vite que possible à l’embarcadère, retour sur le Kornog. Les autres commençaient à préparer leurs bateaux et je n’avais pas encore déjeuné !

    Nous étions à peine partis au moteur que Vincent s’approcha avec son zodiac : « Catherine, tu as vu tes béquilles ? »
    Oups elles étaient restées à poste!
    Là je retire les béquilles à la hâte et poursuit au moteur puis à la voile…cool. Les routes se sont séparées entre ceux qui rentraient sur Roscoff et ceux qui allaient vers Perros…. C'est-à-dire le django 7.7 de Mathieu et son escort boat le first 18.
    Nous avons fait route au large comme je l’avais fait à l’aller mais peu de vent, peu de réserves d’essence et un courant souvent défavorable, nous avons mis environ 11h pour rentrer.
    100_1333.JPG
    Un Django bien accompagné!
    Le django, bien que biquille me paraissait limite un peu plus à l’aise concernant l’angle de remontée au vent et l’aptitude à virer. Je me disais alors oui c’est un biquille mais c’est quand même le bateau de l’année 2011 :?:
    Très, appliquée à suivre le django en essayant de ne pas trop le retarder je n’ai quasi pas lâché la barre m’accordant juste de consommer quelques biscuits protéinés.

    Nous avons pu constater que même en milieu dégagé sans houle la liaison vhf entre postes portables était rompue pour une distance qui paraissait inférieure au km.

    Vers 20heures Kornog était sur son corps mort et bonne surprise….pas besoin de remonter la quille !!! :idea:

    Si vous voulez en savoir plus sur les semaines du petit cabotage :
    http://www.semainepetitcabotage.com/
  • Catherine (Kornog)
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    Re: Kornog entre cabotage..et cabotinage!

    par Catherine (Kornog) » mar. 22 nov. 2011 10:01

    Merci Nico et Laurent pour vos messages de sympathie.

    Je ne peux que vous recommander les semaines du petit cabotage.
    L'équipe connait bien sa région et la navigation, elle est motivée et attentive.
    Le prix demandé en 2011, 130 € par adulte était inférieur au prix coûtant, le salaire des encadrants, permanents de nautisme en Finistère n'ayant pas été pris en compte.

    Les dates 2012 sont déjà sur le site, le détail des circuits sera indiqué mi-février.

    Au vu des dates, je me laisserais bien tenter par le circuit des Abers, qui l'an dernier se faisait au départ de Brignogan.

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